Six heures tapantes à Roissy, la ville s’éveille à peine. Pendant ce temps, à Manhattan, on refait le monde autour de plats servis bien après minuit. Huit fuseaux horaires et quelques poignées d’heures qui défient toute intuition : franchir l’Atlantique, c’est aussi réapprendre à dormir, à penser, à se synchroniser avec un corps qui proteste.
Certains passagers révisent déjà leur …